Le concert des élèves de Monsieur Crochet : une tradition, mais toujours autant de fraîcheur …
Pour la quatrième fois, en douze ans, notre famille assistait au traditionnel concert des petits élèves de Monsieur Crochet. C’était le 29 mai, une date importante, épinglée dans l’agenda dès le mois de septembre. Le ciel avait bonne mine, ce jour-là. Comment aurait-il pu en être autrement? Ce que nous allions entendre dans les vieux murs de Saint-Donat était si printanier!
Dicté par le prénom des enfants de la classe, le choix des morceaux nous a emmenés à la rencontre de personnages aussi inattendus que sympathiques; même le Père Noël et le Grand Saint ont émergé de leur sommeil enneigé pour venir nous saluer, en pleine belle saison. L’interprétation de nos choristes en herbe n’avait d’égale que celle du chant des oiseaux, surtout lorsque les premiers se sont mis à siffler!!!! Quant aux instrumentistes solistes, ils n’auraient eu que peu de choses à envier aux virtuoses qui se sont distingués dans notre capitale durant ces dernières semaines.
Non, franchement, nous avons vécu un petit moment de bonheur, ce soir-là, à Saint-Donat, un petit moment de fraîcheur qu’appareils numériques et caméras ont heureusement arrêté et que nous revisiterons avec beaucoup de plaisir.
Et bien non, en douze ans, elle n’a pas pris une ride, la guitare de Philippe, et nos enfants se souviendront encore longtemps de leur deuxième primaire “en-chantée”, rythmée par les battements enthousiastes et les arpèges délicats de celle-ci.
Michèle LEROY
Dicté par le prénom des enfants de la classe, le choix des morceaux nous a emmenés à la rencontre de personnages aussi inattendus que sympathiques; même le Père Noël et le Grand Saint ont émergé de leur sommeil enneigé pour venir nous saluer, en pleine belle saison. L’interprétation de nos choristes en herbe n’avait d’égale que celle du chant des oiseaux, surtout lorsque les premiers se sont mis à siffler!!!! Quant aux instrumentistes solistes, ils n’auraient eu que peu de choses à envier aux virtuoses qui se sont distingués dans notre capitale durant ces dernières semaines.
Non, franchement, nous avons vécu un petit moment de bonheur, ce soir-là, à Saint-Donat, un petit moment de fraîcheur qu’appareils numériques et caméras ont heureusement arrêté et que nous revisiterons avec beaucoup de plaisir.
Et bien non, en douze ans, elle n’a pas pris une ride, la guitare de Philippe, et nos enfants se souviendront encore longtemps de leur deuxième primaire “en-chantée”, rythmée par les battements enthousiastes et les arpèges délicats de celle-ci.
Michèle LEROY
